Oracle s'appuie sur des normes développées par des organisations internationales et des consortiums sectoriels.
Oracle s'engage à créer des produits basés sur des normes pour aider les clients à réduire la complexité et à tirer le meilleur parti de leurs investissements technologiques existants. Nous développons des produits sur la base de normes établies par des organisations internationales et des consortiums sectoriels, et nous nous efforçons de respecter les standards reconnus par le marché pour offrir à nos clients interopérabilité, liberté de choix et réduction des coûts. En tant que contributeur et acteur de référence dans les communautés open source, Oracle est membre actif de la Foundation Linux, de la Cloud Native Computing Foundation, de la Eclipse Foundation et du programme Java Community Process, entre autres.
Oracle participe activement à plus de 100 organismes de normalisation et à plus de 300 comités techniques. Des milliers de nos employés participent activement à des projets liés aux normes ou à l'open source. Ces employés contribuent à des initiatives allant de Java et Linux à Kubernetes.
Nos travaux liés aux normes, à l’échelle mondiale et dans toutes nos entités, incluent une collaboration avec :
Exemples de nos contributions au sein d’organismes de normalisation que nous pilotons ou influençons, y compris dans certains secteurs verticaux et domaines technologiques.
Oracle a été fondée autour de la mise en œuvre d’une norme ouverte : SQL. Avant même de lancer un produit, nous avons pu contribuer au développement de la norme SQL sur un pied d’égalité avec les entreprises technologiques établies. SQL est devenu une norme ANSI en 1986, puis une norme ISO en 1987.
Toutes nos solutions cloud s’exécutent également sur le cloud d’Amazon et d’autres clouds basés sur des normes.Larry Ellison Directeur du Conseil d'administration et Directeur technique d'Oracle
Oracle est depuis longtemps à la pointe du développement et de la démocratisation de la norme SQL. Cette norme a permis de créer un écosystème dynamique d’éditeurs de bases de données, stimulant la concurrence et assurant la compatibilité des produits pour les clients. Cet écosystème florissant alimente depuis des décennies des innovations majeures en gestion des données, au bénéfice des entreprises et du grand public.Juan Loaiza Vice-Président exécutif, Technologies Oracle Database
Oracle collabore avec plus d’une centaine d’organismes de normalisation, notamment :
| 3GPP | Le 3rd Generation Partnership Project réunit sept organismes de normalisation des télécommunications pour élaborer des spécifications en matière de télécommunications mobiles. |
| ANSI | L'American National Standards Institute est une organisation privée à but non lucratif qui soutient le développement de normes technologiques aux États-Unis en fournissant un cadre pour l'élaboration de normes équitables et des systèmes d'évaluation de la conformité. |
| HL7® Fast Healthcare Interoperability Resources® (FHIR) | HL7® FHIR® est une norme d'interopérabilité destinée à faciliter l'échange d'informations de santé entre organisations. |
| IETF | L’Internet Engineering Task Force est une vaste communauté internationale ouverte composée de concepteurs de réseaux, d’opérateurs, de fournisseurs et de chercheurs, qui se consacrent à l’évolution de l’architecture Internet et à son bon fonctionnement. |
| INCITS | Le InterNational Committee for Information Technology Standards est un organisme de développement de normes accrédité par l’ANSI, composé de développeurs de technologies de l’information. Il s’agit du principal forum américain dédié à la création de normes technologiques pour la prochaine génération d’innovations. |
| ISO/IEC JTC 1 | Le comité technique mixte (JTC 1) pour les technologies de l'information a été créé par l'Organisation internationale de normalisation et la Commission électrotechnique internationale. Son objectif est de traiter les questions de normalisation internationale dans le domaine des technologies de l’information. |
| JCP | Le Java Community Process est le mécanisme d’élaboration des spécifications techniques standard de la technologie Java. |
| Linux Foundation | La Foundation Linux est un consortium technologique à but non lucratif, fondé en 2000 pour standardiser Linux, accompagner sa croissance et promouvoir son adoption commerciale. Elle offre également un environnement neutre et fiable aux développeurs pour collaborer sur des projets open source comme la Cloud Native Computing Foundation (CNCF). La CNCF héberge des projets tels que Kubernetes et Prometheus pour rendre le cloud natif universel et durable. |
| OASIS | L’Organization for the Advancement of Structured Information Standards est un consortium international à but non lucratif dont la mission est de développer des logiciels open source et des normes par la collaboration mondiale et communautaire. |
| W3C | Le World Wide Web Consortium est le principal organisme international de normalisation du web. |
| CEN et CENELEC | Le Comité européen de normalisation (CEN) élabore des normes pour divers secteurs, produits et services. Le Comité européen de normalisation électrotechnique (CENELEC) se concentre sur la normalisation dans le domaine électrotechnique. Les deux sont des organismes légalement désignés pour fournir des normes européennes. |
Fort de son engagement de longue date dans le développement open source du noyau Linux, Oracle a été le principal contributeur au noyau Linux lors du cycle de publication 6.1. Ses contributions s’étendent sur plus de 20 ans, notamment dans les domaines SCSI et iSCSI, XFS et btrfs, la gestion de la mémoire avec grandes pages, jusqu’aux structures de données fondamentales du noyau. Chez Oracle, nous nous efforçons d’améliorer Linux pour garantir à nos clients une fiabilité continue, en contribuant tant par des correctifs que par des technologies de base comme les Memory folios ou le Maple Tree, qui servent de socle à de futures améliorations.Greg Marsden Vice-Président senior d'Oracle Linux
La division Oracle Communication Global Business Unit (CGBU) fournit des produits et solutions de pointe au secteur des communications. Cela inclut des fonctions critiques de signalisation pour les réseaux cellulaires 5G, 4G et 3G. Elle comprend également des solutions téléphoniques SIP parmi les meilleures du marché. Ces produits offrent des interfaces et des fonctionnalités interopérables basées sur des normes, essentielles à la mise en œuvre et à l’exploitation des réseaux et services de nos clients.
Imaginez que vous puissiez concevoir un système prenant en charge les services de communication mobile sans fil. Ce système peut être considéré comme une extension des services de téléphonie fixe existants et doit donc permettre des appels entrants et sortants avec n’importe quel téléphone connecté au réseau téléphonique commuté (RTC). Ces mêmes services doivent également être pris en charge pour les appels entre appareils connectés au réseau mobile sans fil défini. Ces services, et d’autres, doivent fonctionner même lorsque les appareils sont en déplacement à vitesse véhiculaire.
Grâce à l’acquisition d’Acme Packet en 2013, Oracle CGBU a joué un rôle clé dans la définition des normes d’interconnexion entre le RTC commuté par circuit et le RTC basé sur les trunks SIP. CGBU continue de fournir des produits Session Border Controller de référence, basés sur les normes issues de ces travaux.
En outre, le système doit prendre en charge les messages courts, les services d’urgence, de géolocalisation, l’accès à Internet et d’autres fonctionnalités activées par les appareils mobiles sans fil. Il doit respecter les exigences réglementaires des pays ayant attribué du spectre radio à l’appui du système défini. Il doit être capable de prendre en charge plusieurs milliards d’appareils, des téléphones grand public aux objets connectés.
En rachetant Tekelec en 2013, la CGBU d’Oracle a joué un rôle déterminant dans la définition initiale de l’architecture et des protocoles Policy and Charging (PCC) introduits dans les premières spécifications 3G. L’architecture PCC gère les accès différenciés au réseau et la tarification associée à ces accès. Oracle continue de prendre en charge des produits centrés sur la gestion de politique, mis à jour pour gérer à la fois les spécifications 4G/LTE et les plus récentes spécifications 5G.
Les services pris en charge par le système doivent être accessibles partout dans le monde via un réseau d’accès radio (RAN) conforme aux normes définies. Le système doit également fournir les services de manière sécurisée, en restreindre l’accès aux seuls utilisateurs inscrits et collecter les données nécessaires à la facturation par les entreprises fournissant ces services.
L’équipe en charge des normes au sein de CGBU travaille en étroite collaboration avec nos clients pour intégrer leurs exigences dans les normes 3GPP et GSMA. Cela se traduit par des propositions conjointes auprès des groupes de travail 3GPP et par une participation directe aux réunions standards régulières 3GPP et GSMA.
Votre tâche est compliquée par le fait que la définition de l’architecture, des protocoles et des technologies nécessaires au fonctionnement du système doit être réalisée en concertation avec les entreprises qui exploiteront le réseau (vos concurrents) et avec les fournisseurs (également concurrents entre eux) du matériel et des logiciels requis.
En apparence, cela peut sembler une tâche impossible. Voici une version quelque peu simplifiée du problème résolu par l’organisation de normalisation 3GPP.
3GPP, acronyme de Third Generation Partnership Project, a été créé en 1998. Avant le 3GPP, les normes de téléphonie mobile étaient définies par des organismes de développement de normes télécoms régionaux. Ces organismes de normalisation comprenaient les entités suivantes :
| Organization | Pays | |
|---|---|---|
| ARIB | Association of Radio Industries and Businesses | Japon |
| ATIS | Alliance for Telecommunications Industry Solutions | États-Unis |
| CCSA | China Communications Standards Association | Chine |
| ETSI | Institut européen des normes de télécommunication | Europe |
| TSDSI | Telecommunications Standards Development Society, India | Inde |
| TTA | Telecommunications Technology Association | Corée |
| TTC | Telecommunication Technology Committee | Japon |
Les normes définies par ces groupes assuraient l’interopérabilité au sein de leurs régions, mais ne permettaient souvent pas l’itinérance des téléphones dans une autre région avec des normes similaires mais différentes. Rappelez-vous que le système que vous avez été invité à définir doit fonctionner partout dans le monde.
Le CGBU concentre ses efforts en matière de normes sur les TSG SA et CT. Grâce à ces efforts, CGBU propose diverses fonctions réseau 5G, dont un Service Communication Proxy (SCP) de référence, la Network Resource Function (NRF), la Network Slice Selection Function (NSSF), la Network Exposure Function (NEF), la Security Edge Protection Proxy (SEPP), la Binding Support Function (BSF) et la Policy Control Function (PCF) liée à la politique mentionnée précédemment.
Le premier ensemble de normes défini par le 3GPP a donné naissance à ce que l’on appelle le système cellulaire 3G. L’organisation 3GPP a continué à faire évoluer ces normes et a publié les définitions des versions 4G/LTE et 5G. Et l’on parle déjà d’une définition émergente des normes cellulaires 6G.
Le 3GPP est structuré autour de trois TSG (Technical Specification Groups).
Chaque TSG est ensuite divisé en plusieurs groupes de travail. Le tableau suivant présente les groupes de travail 3GPP actuellement actifs. Ces groupes de travail définissent les normes 3GPP.
| TSG | ||
|---|---|---|
| RAN | SA | CT |
| RAN1 : couche radio 1 (couche physique) | SA WG1 : services | CT WG1 : équipements utilisateur - protocoles cœur de réseau |
| RAN2 : couches radio 2 et 3, contrôle des ressources radio | SA WG2 : architecture système et services | CT WG3 : interfonctionnement avec réseaux externes, contrôle de politique et de facturation |
| RAN3 : architecture UTRAN/E-UTRAN/NG-RAN et interfaces réseau associées | SA WG3 : sécurité et confidentialité | CT WG4 : protocoles du cœur de réseau |
| RAN4 : performances radio et aspects protocolaires | SA WG4 : codecs multimédias, systèmes et services | CT WG6 : aspects applicatifs des cartes à puce |
| RAN5 : test de conformité des terminaux mobiles | SA WG5 : gestion, orchestration et tarification | |
| SA WG6 : activation des applications et communications critiques | ||
3GPP ne définit pas tous les protocoles qui constituent le système 3GPP. Dans de nombreux cas, les groupes de travail 3GPP définissent comment les normes élaborées par d’autres organismes de normalisation sont utilisées par le système 3GPP.
Une grande partie du travail mentionné précédemment concernant la définition des normes liées aux SBC a été réalisée au sein du groupe IETF SIP et d’autres groupes connexes. CGBU a également participé à la définition des normes IETF relatives à Diameter, élaborées par le groupe de travail DIME, qui ont influencé son produit Diameter Signaling Router.
De nombreux protocoles utilisés dans les normes 3GPP sont définis par l’Internet Engineering Task Force (IETF), l’organisme responsable de protocoles tels que IPv4, IPv6, TCP, TLS, http/2, Diameter et SIP, entre autres, utilisés dans les systèmes 3G, 4G et 5G du 3GPP.
L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) définit les protocoles de niveau inférieur comme Ethernet.
La GSMA, principale organisation sectorielle pour les opérateurs de réseaux mobiles, définit également des normes axées sur l’interopérabilité entre opérateurs. Ainsi, les normes de la GSMA portent sur des aspects tels que l’utilisation du système 3GPP pour l’itinérance entre fournisseurs de services et la réconciliation des frais entre eux.
Pour les plus curieux, voici les principales spécifications décrivant le système 5G du 3GPP. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car il s’agit des spécifications dites de niveau 2 selon le 3GPP. Ces spécifications sont développées par les groupes SA2 et SA3 et définissent l’architecture du cœur de réseau 5G.
| Numéro de spécification | Groupe de travail | Titre de la spécification |
|---|---|---|
| 23.501 | SA2 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; System architecture for the 5G System (5GS); Stage 2 |
| 23.501 | SA2 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; Procedures for the 5G System (5GS); Stage 2 |
| 23.503 | SA2 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; Policy and charging control framework for the 5G System (5GS); Stage 2 |
| 33.501 | SA3 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; Security architecture and procedures for 5G system |
Les groupes CT utilisent ces spécifications comme base pour le niveau 3, qui décrit les protocoles détaillés nécessaires aux fournisseurs comme Oracle pour implémenter les fonctionnalités définies. Voici un échantillon des spécifications publiées par les groupes CT. Les deux premières sont fondamentales et s'appliquent à toutes les fonctions réseau définies par le 3GPP. Les deux suivants détaillent les protocoles pour deux fonctions réseau 5G proposées par CGBU.
| Numéro de spécification | Groupe de travail | Titre de la spécification |
|---|---|---|
| 29.500 | CT4 | 5G System; Technical Realization of Service Based Architecture; Stage 3 |
| 29.501 | CT4 | 5G System; Principles and Guidelines for Services Definition; Stage 3 |
| 29.510 | CT3 | 5G System; Network function repository services; Stage 3 |
| 29.512 | CT3 | 5G System; Session Management Policy Control Service; Stage 3 |
Heureusement pour vous, le 3GPP, l'IETF, l'IEEE, la GSMA et d’autres organismes de normalisation ont déjà conçu le système que vous étiez chargé de spécifier. Désormais, peu importe où vous êtes dans le monde, quel est votre opérateur mobile ou qui vous a fourni le téléphone dans votre poche, vous pouvez bénéficier du système cellulaire 5G pour consulter l’état du trafic et la météo avant de rentrer chez vous.
Oracle Health propose une multitude de solutions pour le secteur de la santé et des soins de santé. Ces solutions incluent des systèmes d’information de santé utilisés par les cliniques, hôpitaux, réseaux de soins et acteurs des sciences de la vie. Les solutions Oracle Health soutiennent les processus de gestion administrative, clinique, départementale et/ou financière, ainsi que la prise de décision ; le partage de données entre organisations à l’échelle locale et nationale pour le reporting réglementaire, la coordination des soins, la gestion des réclamations, la recherche, les registres et autres usages secondaires ; la gestion des essais cliniques ; le rapport des événements indésirables ; ou la recherche et la gestion de la santé des populations pour les organisations de soins responsables (ACO).
Les normes sont essentielles pour garantir une représentation cohérente des données lors du partage d’informations (format, terminologie commune, modalités de transport) ainsi que des exigences minimales en matière de sécurité, en particulier lorsqu’il s’agit de données de santé personnelles.
Pour un historique de notre engagement en faveur de l’interopérabilité, voir les étapes majeures sur Normes | Oracle. Cela inclut les contributions et étapes de SMS, Siemens, Cerner et Oracle via la chaîne d’acquisitions.
Un patient planifie un premier rendez-vous avec un généraliste après son déménagement. En préparation du rendez-vous, le cabinet du médecin demande les données disponibles via le réseau national.
Le DPI du médecin lance une requête sur un réseau national, tel que CommonWell, à l'aide des protocoles d'échange de documents IHE et reçoit en retour les documents C-CDA HL7.
Le médecin traitant vérifie la documentation reçue, puis sélectionne les informations pertinentes à inclure dans les enregistrements initiaux.
Le DPI permet au généraliste d'intégrer de manière transparente les données des documents basés sur les normes dans l'enregistrement sous forme structurée, et pas seulement les notes narratives, les documents numérisés ou le texte.
Au cours de la consultation du patient, le médecin traitant prescrit des tests en laboratoire et une pommade pour une éruption cutanée.
Le DPI envoie une prescription au laboratoire à l'aide des messages HL7 v2 à l'aide des codes LOINC standard pour le test, tout en envoyant une prescription de sortie à la pharmacie locale du patient via un réseau national utilisant les normes NCPDP ePrescribing à l'aide des codes de médicaments RxNorm.
Lorsque le patient rentre à la maison, il veut consulter le résumé de la consultation Bien qu'il n'ait pas encore accès au portail, il dispose d'une application permettant d'accéder aux informations de la consultation à partir du dossier patient informatisé du médecin traitant à l'aide des API FHIR.
Le patient va au laboratoire pour la prise de sang. Ensuite, le laboratoire effectue le test et envoie les résultats au médecin traitant prescripteur Bien que le patient ne dispose pas encore d'un accès au portail, il dispose d'une application permettant d'accéder aux informations de consultation à partir du dossier patient informatisé du médecin traitant à l'aide des API basées sur le rapport d'informations cliniques.
Le patient accède à nouveau à l'application pour rechercher les résultats à l'aide des API FHIR HL7 sur le DPI du médecin traitant ou peut les obtenir au laboratoire s'il a également exposé les résultats via les API FHIR HL7.
Les résultats ont montré une maladie à déclarer qui nécessite la notification de santé publique.
Le système de laboratoire partage les résultats de laboratoire avec l'agence de santé publique locale à l'aide des messages HL7 v2, tandis que le DPI partage un rapport de cas plus complet avec cette même agence de santé publique à l'aide d'API basées sur HL7 FHIR ou d'un rapport de cas basé sur HL7 CDA.
Entre-temps, les demandes pour la consultation du médecin traitant et le test de laboratoire correspondants ont été soumises au payeur, qui, à son tour, règle la demande et paie le médecin traitant et perçoit une franchise ou un co-paiement du patient.
Via le système de gestion des pratiques ou du cycle de revenus du médecin traitant, le système de gestion des réclamations du laboratoire a envoyé les réclamations respectives au payeur à l'aide des transactions de réclamation X12 et a reçu une notification de paiement à l'aide des transactions de paiement/remise en banque X12.
Le médecin traitant fait partie d'un système de santé plus vaste qui gère une population plus importante et collabore avec des chercheurs. Ils maintiennent un grand jeu de données de population pour effectuer des analyses internes et fournir un accès aux données des patients dépersonnalisées aux chercheurs dans le cadre des directives de l'HIPAA.
Le système d'analyse extrait et anonymise les données du système d'intégrité, qui sont ensuite disponibles dans l'un des différents formats. Il peut être directement au format OMOP, ou dans HL7 API basées sur FHIR, ou un autre format convenu.
La liste suivante met en évidence les normes et directives importantes que les développeurs informatiques doivent suivre en raison de diverses réglementations et contrats aux niveaux international, national et étatique. Bien que certaines normes soient volontaires, elles sont cruciales pour assurer l'interopérabilité entre les différents systèmes informatiques de santé. Des exemples notables incluent l'US ONC Certification Program, qui impose l'utilisation de HL7 FHIR et HL7 C-CDA, ainsi que les réglementations du Royaume-Uni, de l'UE, de l'Australie et du Canada. Ces normes facilitent également l'échange de données interopérables au sein d'organisations telles que les hôpitaux, permettant des tâches telles que le traitement des commandes en laboratoire, la facturation avec des systèmes de cycle de revenus et le partage d'informations pour l'analyse des soins basée sur la valeur.
| Organization | Nom | Pays | Objectif |
|---|---|---|---|
| Transactions | |||
| ASTM International | American Society for Testing and Materials | Monde | Événements vérifiables (2147-18) |
| CDISC | Consortium pour les normes d'échange de données cliniques | Monde |
|
| DICOM | Communication numérique et imagerie en médecine | Monde | Échange d'images et accès |
| DirectTrust | DirectTrust | États-Unis | Messagerie sécurisée, notification d'événement (Direct Standard) |
| GS1 | Global Standards 1 | Monde |
|
| HL7 International | Health Level Seven International | Monde |
|
| IHE | Integrating the Healthcare Enterprise | Monde |
|
| NCPDP | National Council for Prescription Drug Programs | États-Unis | Prescription, autorisation préalable (médicaments uniquement), demandes de remboursement (SCRIPT) |
| OHDSI | Observational Health Data Sciences and Informatics | Monde | Recherche (OMOP CDM) |
| ANSI | American National Standards Institute | États-Unis | Réclamations, admissibilité, paiements, versement (X12) |
| Transport | |||
| IETF | Internet Engineering Task Force | Monde |
|
| Utilité | |||
| HL7 | Health Level 7 | Monde | Enregistrement, authentification et autorisation dynamiques des applications (SSRAA/UDAP) |
| OIDF | OpenID Foundation | Monde | Gestion globale des identités (OpenID) |
| UDAP | Unified Data Access Profiles | Monde | Enregistrement et authentification de l'application globale |
| W3C | World Wide Web Consortium | Monde | Global User interface usability (WCAG) |
| Sécurité | |||
| NIST | National Institute for Standards and Technology | États-Unis |
|
| Lexique | |||
| ADA | American Dental Association | États-Unis | Diagnostics, procédures et autres nomenclatures utilisés pour la dentisterie (SNODENT) Codes de facturation des créances dentaires utilisés sous HIPAA (CDT) |
| AMA | American Medical Association | États-Unis | Codes de procédure utilisés pour les demandes de remboursement |
| AND | Academy of Nutrition and Dietetics | États-Unis | Terminologie normalisée pour assurer des soins nutritionnels optimaux (NCPT) |
| ASTP/ONC | Assistant Secretary for Technology Policy / Office of the National Coordinator | États-Unis | Données relatives à la certification ASTP/ONC et aux autres programmes (USCDI) |
| CMS | Centers for Medicare and Medicaid Services | États-Unis | Healthcare Common Procedure Coding System (HCPCS) Exigences en matière de reporting des données de laboratoire (CLIA) |
| CDC | Centers for Disease Control and Prevention | États-Unis | Codes de vaccin (CVX) Codes de fabricants de vaccins (MVX) Race et origine ethnique (CDREC) |
| FDA | Food and Drug Administration | États-Unis | Codes de médicaments nationaux (code UCD) Identifiant de dispositif unique (IDU) |
| GA4GH | Global Alliance for Genomics and Health | Monde | Format de variation génétique (VCF) |
| ICCBBA | International Council for Commonality in Blood Banking Automation | Monde | Norme pour l'identification, l'étiquetage et le transfert d'informations des produits médicaux d'origine humaine (y compris le sang, les cellules, les tissus, le lait et les organes) (ISBT 128) |
| ICH | International Council for Harmonization of Technical Requirements for Human Use | Monde | La terminologie médicale pour faciliter le partage de l'information réglementaire à l'échelle internationale pour les produits médicaux utilisés par les humains. (MedRA) |
| ISO | Organisation internationale de normalisation | Monde | Langues humaines (RFC 5646) |
| NHTSA | National Highway Traffic Safety Administration’ | États-Unis | Codes terminologiques des soins d'urgence (NEMSIS) |
| NIH | National Institute of Health | États-Unis | Nomenclature standardisée pour les médicaments cliniques, essentiellement un moyen de nommer et de classer systématiquement les médicaments (RxNorm) |
| NHSE | NHS England | Royaume-Uni | Normes d'information et collecte de données (y compris les extractions) (ISCE) Échange de messages (MESH) Data Security and Protection Toolkit (DSPT) |
| NHSBSA | Autorité des services aux entreprises du NHS | Royaume-Uni | Dictionnaire des médicaments et des dispositifs (dm+d) |
| NUBC | National Uniform Billing Committee | États-Unis | Formulaire de réclamation (UB-04) |
| NUCC | National Uniform Claim Committee | États-Unis | Formulaire de réclamation (1500) |
| OMB | Office of Management and Budget | États-Unis | Race et origine ethnique (SPD 15) |
| Regenstrief | Regenstrief | Monde | Codes d'unité de mesure (UCUM) Codes de test clinique et de terminologie associée (LOINC) |
| SNOMED | Systematized Nomenclature for Medicine | Monde | Codes de diagnostic, de procédure et autres codes terminologiques |
| UN ITU-T | United Nations International Telecommunication Union Telecommunication Standardization Sector | Monde | Représentation des numéros de téléphone, des adresses électroniques et des adresses Web (E.123) |
| OMS | Organisation mondiale de la santé | Monde | Diagnostics et codes de terminologie associés |
Fort de notre engagement continu en faveur de l'innovation multicloud, de notre leadership et de nos contributions avec l'Organisation internationale de normalisation, nous collaborons avec les leaders du secteur pour fournir à nos clients des solutions basées sur des normes.
Célébrez le 25e anniversaire du programme JCP
En tant que membre Platinum siégeant au conseil de la Cloud Native Computing Foundation (CNCF), Oracle peut influencer les normes cloud native en cours de développement par les leaders du secteur à travers le monde. Notre partenariat avec la CNCF reflète l’engagement d’Oracle en faveur des normes et des projets open source, guidé par les besoins de ses clients. Nous démontrons le leadership d’Oracle dans l’industrie cloud grâce à des contributions actives à plus de vingt projets CNCF tels que Kubernetes, Falco (observabilité), Thanos (sécurité) et Crossplane (multicloud). https://www.cncf.io/
Je n’ai jamais été aussi enthousiaste face aux opportunités que le multicloud offre à Oracle, avec des workloads et des données circulant sans interruption entre les clouds. Nous renforçons notre engagement et nos investissements dans les projets CNCF et les intégrations afin d’offrir aux clients une approche open source et basée sur des normes ouvertes pour intégrer plusieurs fournisseurs cloud.Mahesh Thiagarajan EVP Oracle Cloud
La collaboration est essentielle pour stimuler l’innovation, c’est pourquoi nous invitons chacun à rejoindre cette association et à nous aider à respecter des normes communautaires ouvertes”, a déclaré Thomas Di Giacomo, directeur de la technologie et des produits chez SUSE. “SUSE croit fermement en la liberté de choix. Avec la communauté open source, nous redéfinirons le sens de l’ouverture et construirons un avenir plus robuste pour EL.Thomas Di Giacomo Directeur de la technologie et des produits chez SUSE
Oracle Database@Azure offre aux clients un accès direct aux services de base de données Oracle exécutés sur Oracle Cloud Infrastructure et déployés dans les centres de données Microsoft Azure.
En savoir plus sur notre collaboration avec Microsoft
Nous avons une véritable opportunité d’aider les entreprises à migrer leurs applications critiques vers le cloud et à transformer chaque aspect de leur entreprise avec cette nouvelle génération d’IA”, a déclaré Satya Nadella, PDG de Microsoft. “Notre partenariat élargi avec Oracle fera de Microsoft Azure le seul autre fournisseur cloud à exécuter les services de base de données Oracle, offrant à nos clients une nouvelle vague d’innovation cloud.Satya Nadella PDG de Microsoft
La plupart des clients utilisent déjà plusieurs clouds”, explique Larry Ellison, Président et Directeur de la technologie d'Oracle. « Microsoft et Oracle travaillent ensemble pour permettre à ces clients de connecter facilement les services Azure aux dernières technologies Oracle Database. En hébergeant le matériel Oracle Exadata dans les centres de données Azure, les clients bénéficieront des meilleures performances possibles en matière de base de données et de réseau. Nous sommes fiers de ce partenariat avec Microsoft pour offrir cette capacité de pointe à nos clients.Larry Ellison Président et Directeur de la technologie d'Oracle
En reconnaissance du leadership d’Oracle au sein du comité ISO/IEC JTC 1/SC 38 (Cloud Computing & Distributed Platforms) pour créer des environnements cloud hétérogènes, Ampere et Oracle ont créé des clusters Kubernetes basés sur Arm, exécutés via Oracle Container Engine for Kubernetes (OKE), reposant sur la plateforme de calcul cloud native Ampere A1 dans Oracle Cloud Infrastructure (OCI). Le choix, l’interopérabilité et la maturité de ce service multiplateforme ouvrent des perspectives de migration facile et d’innovation continue pour nos clients.Sean Varley Vice-président du marketing produit, Ampere
Arm devient rapidement un choix populaire pour les clients dans le cloud. Les développeurs d’Arm et d’Oracle collaborent au noyau Linux et à d’autres projets en amont sur de nombreuses technologies au bénéfice de tout l’écosystème. Par exemple, les contributions d’Oracle à la gestion mémoire (y compris les structures de données Maple Tree et les folios) améliorent les performances au-delà de leur application spécifique. Oracle collabore également avec Linaro pour intégrer la fonctionnalité CPU hotplug virtuel dans l’architecture Arm. Ce type de collaboration intersectorielle permet à Linux et à l’écosystème Arm de continuer à prospérer.Mark Hambleton VP logiciel, Arm
Le programme Java Community Process (JCP) possède une longue et solide réputation dans l’établissement de spécifications qui constituent la base des applications developpées par des millions de développeurs et s'exécutant sur des milliards de processeurs. L’ensemble de l’industrie logicielle bénéficie de cette dynamique, couplée au rythme soutenu d’innovation d’OpenJDK, qui constitue l’implémentation de référence du programme JCP. Oracle est fier de soutenir, avec ses partenaires, l’évolution de l’écosystème Java depuis près de 30 ans.Georges Saab Vice-président senior du développement Java, Président du conseil d'administration OpenJDK, Oracle
La dernière version apporte 15 JDK Enhancement Proposals pour accroître la productivité des développeurs, améliorer le langage Java et renforcer les performances, la stabilité et la sécurité de la plateforme.
Création du JCP : Sun validait les demandes et les membres contribuaient aux spécifications.
Création de comités exécutifs pour examiner et approuver les JSR.
Égalité accordée aux membres individuels.
Adoption de l’open source, simplification des processus, ouverture des premières ébauches, conditions de licence et TCK accessibles au public.
Transparence requise pour les commentaires publics et révision du calendrier des publications.
Introduction des règles internes des CE, transparence requise dans la communication des JSR et délais raccourcis.
Lancé pour inclure les voix des JUG du monde entier sur les normes Java.
Fusion des deux comités exécutifs en un seul votant sur tous les JSR.
Élargissement de l’adhésion, suppression des obstacles, ajout des contributeurs et création de trois types de sièges au CE.
Rationalisation des processus pour plus d’agilité, alignement avec le développement open source et réduction de la taille du CE.
Lancé pour inspirer et former la prochaine génération de développeurs Java et combler le fossé entre le monde académique et l’industrie.
Célébration des 25 ans du programme JCP
Depuis plus de 20 ans, Arm est un membre actif du Java Community Process (JCP), avec de nombreuses contributions à long terme au projet OpenJDK. En collaborant avec Oracle pour adopter un cycle de publication semestriel, l’évolution du langage a été accélérée, permettant d’introduire plus rapidement des fonctionnalités comme les threads virtuels ou un Garbage Collector amélioré. La version Java 21 intègre la sixième incubation de l’API Vector sur Arm, exploitant l’architecture vectorielle SVE pour toucher davantage de développeurs Java. Notre travail sur ces avancées maintient Java à la pointe du développement cloud natif, performant et évolutif sur les cœurs Arm Neoverse.Stuart Monteith Ingénieur logiciel principal, Arm
La performance et la compatibilité de la plateforme Java sont essentielles pour les clients déployant des charges de travail Java sur les configurations Ampere A1 dans OCI, ou sur site. Conscients de cela, les experts d’Oracle et d'Ampere ont collaboré pour améliorer considérablement les performances Java sur différentes versions d'OpenJDK, en respectant les spécifications Java, notamment via le Java Community Program (JCP) et la Java Specification Request (JSR) 395 pour Java SE 20. Grâce à cette collaboration et à nos spécifications ouvertes, les performances de Java sont jusqu'à 30 % supérieures avec les derniers JDK. Même les workloads hérités en bénéficient, comme avec le récent Enterprise Performance Pack, qui permet d’obtenir les performances de JDK 17 sur des applications JDK 8.Atiq Bajwa Directeur de la technologie, Ampere
Oracle participe au développement de normes en intelligence artificielle (IA). Les projets dans ces organismes de normalisation couvrent divers aspects des systèmes d'IA : biais/équité, supervision humaine, explicabilité/transparence, gestion des risques, confidentialité et sécurité. Ces normes favorisent l'harmonisation technique et facilitent l’accès au marché.
| ISO/IEC JTC 1 SC 42 | Il s'agit d'un organisme conjoint relevant de l'Organisation internationale de normalisation (ISO) et de la Commission électrotechnique internationale (CEI) chargé de la normalisation de l'IA. |
| CEN/CENELEC JTC 21 | Il s’agit d’un organisme conjoint du Comité européen de normalisation (CEN) et du Comité européen de normalisation électrotechnique (CENELEC). Le Comité technique conjoint 21 élabore et adopte des normes pour l'IA et les données associées. Cet organisme est également chargé d’établir des normes harmonisées (normes européennes) pour l'AI Act. |
| ETSI ISG SAI | L’Institut européen des normes de télécommunications (ETSI) a créé un groupe de spécifications industrielles sur la sécurisation de l’intelligence artificielle (ISG SAI). Ce groupe traite de la sécurité de l'IA et de l'utilisation de l'IA pour renforcer la sécurité. |
Nous participons également aux activités liées à l'IA des organismes suivants :
Avertissement : nous participons, contribuons ou suivons ces activités, mais nous ne garantissons pas que nos produits respectent toutes les normes ou versions.
La division Oracle Communication Global Business Unit (CGBU) fournit des produits et solutions de pointe au secteur des communications. Cela inclut des fonctions critiques de signalisation pour les réseaux cellulaires 5G, 4G et 3G. Elle comprend également des solutions téléphoniques SIP parmi les meilleures du marché. Ces produits offrent des interfaces et des fonctionnalités interopérables basées sur des normes, essentielles à la mise en œuvre et à l’exploitation des réseaux et services de nos clients.
Imaginez que vous puissiez concevoir un système prenant en charge les services de communication mobile sans fil. Ce système peut être considéré comme une extension des services de téléphonie fixe existants et doit donc permettre des appels entrants et sortants avec n’importe quel téléphone connecté au réseau téléphonique commuté (RTC). Ces mêmes services doivent également être pris en charge pour les appels entre appareils connectés au réseau mobile sans fil défini. Ces services, et d’autres, doivent fonctionner même lorsque les appareils sont en déplacement à vitesse véhiculaire.
Grâce à l’acquisition d’Acme Packet en 2013, Oracle CGBU a joué un rôle clé dans la définition des normes d’interconnexion entre le RTC commuté par circuit et le RTC basé sur les trunks SIP. CGBU continue de fournir des produits Session Border Controller de référence, basés sur les normes issues de ces travaux.
En outre, le système doit prendre en charge les messages courts, les services d’urgence, de géolocalisation, l’accès à Internet et d’autres fonctionnalités activées par les appareils mobiles sans fil. Il doit respecter les exigences réglementaires des pays ayant attribué du spectre radio à l’appui du système défini. Il doit être capable de prendre en charge plusieurs milliards d’appareils, des téléphones grand public aux objets connectés.
En rachetant Tekelec en 2013, la CGBU d’Oracle a joué un rôle déterminant dans la définition initiale de l’architecture et des protocoles Policy and Charging (PCC) introduits dans les premières spécifications 3G. L’architecture PCC gère les accès différenciés au réseau et la tarification associée à ces accès. Oracle continue de prendre en charge des produits centrés sur la gestion de politique, mis à jour pour gérer à la fois les spécifications 4G/LTE et les plus récentes spécifications 5G.
Les services pris en charge par le système doivent être accessibles partout dans le monde via un réseau d’accès radio (RAN) conforme aux normes définies. Le système doit également fournir les services de manière sécurisée, en restreindre l’accès aux seuls utilisateurs inscrits et collecter les données nécessaires à la facturation par les entreprises fournissant ces services.
L’équipe en charge des normes au sein de CGBU travaille en étroite collaboration avec nos clients pour intégrer leurs exigences dans les normes 3GPP et GSMA. Cela se traduit par des propositions conjointes auprès des groupes de travail 3GPP et par une participation directe aux réunions standards régulières 3GPP et GSMA.
Votre tâche est compliquée par le fait que la définition de l’architecture, des protocoles et des technologies nécessaires au fonctionnement du système doit être réalisée en concertation avec les entreprises qui exploiteront le réseau (vos concurrents) et avec les fournisseurs (également concurrents entre eux) du matériel et des logiciels requis.
En apparence, cela peut sembler une tâche impossible. Voici une version quelque peu simplifiée du problème résolu par l’organisation de normalisation 3GPP.
3GPP, acronyme de Third Generation Partnership Project, a été créé en 1998. Avant le 3GPP, les normes de téléphonie mobile étaient définies par des organismes de développement de normes télécoms régionaux. Ces organismes de normalisation comprenaient les entités suivantes :
| Organization | Pays | |
|---|---|---|
| ARIB | Association of Radio Industries and Businesses | Japon |
| ATIS | Alliance for Telecommunications Industry Solutions | États-Unis |
| CCSA | China Communications Standards Association | Chine |
| ETSI | Institut européen des normes de télécommunication | Europe |
| TSDSI | Telecommunications Standards Development Society, India | Inde |
| TTA | Telecommunications Technology Association | Corée |
| TTC | Telecommunication Technology Committee | Japon |
Les normes définies par ces groupes assuraient l’interopérabilité au sein de leurs régions, mais ne permettaient souvent pas l’itinérance des téléphones dans une autre région avec des normes similaires mais différentes. Rappelez-vous que le système que vous avez été invité à définir doit fonctionner partout dans le monde.
Le CGBU concentre ses efforts en matière de normes sur les TSG SA et CT. Grâce à ces efforts, CGBU propose diverses fonctions réseau 5G, dont un Service Communication Proxy (SCP) de référence, la Network Resource Function (NRF), la Network Slice Selection Function (NSSF), la Network Exposure Function (NEF), la Security Edge Protection Proxy (SEPP), la Binding Support Function (BSF) et la Policy Control Function (PCF) liée à la politique mentionnée précédemment.
Le premier ensemble de normes défini par le 3GPP a donné naissance à ce que l’on appelle le système cellulaire 3G. L’organisation 3GPP a continué à faire évoluer ces normes et a publié les définitions des versions 4G/LTE et 5G. Et l’on parle déjà d’une définition émergente des normes cellulaires 6G.
Le 3GPP est structuré autour de trois TSG (Technical Specification Groups).
Chaque TSG est ensuite divisé en plusieurs groupes de travail. Le tableau suivant présente les groupes de travail 3GPP actuellement actifs. Ces groupes de travail définissent les normes 3GPP.
| TSG | ||
|---|---|---|
| RAN | SA | CT |
| RAN1 : couche radio 1 (couche physique) | SA WG1 : services | CT WG1 : équipements utilisateur - protocoles cœur de réseau |
| RAN2 : couches radio 2 et 3, contrôle des ressources radio | SA WG2 : architecture système et services | CT WG3 : interfonctionnement avec réseaux externes, contrôle de politique et de facturation |
| RAN3 : architecture UTRAN/E-UTRAN/NG-RAN et interfaces réseau associées | SA WG3 : sécurité et confidentialité | CT WG4 : protocoles du cœur de réseau |
| RAN4 : performances radio et aspects protocolaires | SA WG4 : codecs multimédias, systèmes et services | CT WG6 : aspects applicatifs des cartes à puce |
| RAN5 : test de conformité des terminaux mobiles | SA WG5 : gestion, orchestration et tarification | |
| SA WG6 : activation des applications et communications critiques | ||
3GPP ne définit pas tous les protocoles qui constituent le système 3GPP. Dans de nombreux cas, les groupes de travail 3GPP définissent comment les normes élaborées par d’autres organismes de normalisation sont utilisées par le système 3GPP.
Une grande partie du travail mentionné précédemment concernant la définition des normes liées aux SBC a été réalisée au sein du groupe IETF SIP et d’autres groupes connexes. CGBU a également participé à la définition des normes IETF relatives à Diameter, élaborées par le groupe de travail DIME, qui ont influencé son produit Diameter Signaling Router.
De nombreux protocoles utilisés dans les normes 3GPP sont définis par l’Internet Engineering Task Force (IETF), l’organisme responsable de protocoles tels que IPv4, IPv6, TCP, TLS, http/2, Diameter et SIP, entre autres, utilisés dans les systèmes 3G, 4G et 5G du 3GPP.
L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) définit les protocoles de niveau inférieur comme Ethernet.
La GSMA, principale organisation sectorielle pour les opérateurs de réseaux mobiles, définit également des normes axées sur l’interopérabilité entre opérateurs. Ainsi, les normes de la GSMA portent sur des aspects tels que l’utilisation du système 3GPP pour l’itinérance entre fournisseurs de services et la réconciliation des frais entre eux.
Pour les plus curieux, voici les principales spécifications décrivant le système 5G du 3GPP. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car il s’agit des spécifications dites de niveau 2 selon le 3GPP. Ces spécifications sont développées par les groupes SA2 et SA3 et définissent l’architecture du cœur de réseau 5G.
| Numéro de spécification | Groupe de travail | Titre de la spécification |
|---|---|---|
| 23.501 | SA2 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; System architecture for the 5G System (5GS); Stage 2 |
| 23.501 | SA2 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; Procedures for the 5G System (5GS); Stage 2 |
| 23.503 | SA2 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; Policy and charging control framework for the 5G System (5GS); Stage 2 |
| 33.501 | SA3 |
3rd Generation Partnership Project; Technical Specification Group Services and System Aspects; Security architecture and procedures for 5G system |
Les groupes CT utilisent ces spécifications comme base pour le niveau 3, qui décrit les protocoles détaillés nécessaires aux fournisseurs comme Oracle pour implémenter les fonctionnalités définies. Voici un échantillon des spécifications publiées par les groupes CT. Les deux premières sont fondamentales et s'appliquent à toutes les fonctions réseau définies par le 3GPP. Les deux suivants détaillent les protocoles pour deux fonctions réseau 5G proposées par CGBU.
| Numéro de spécification | Groupe de travail | Titre de la spécification |
|---|---|---|
| 29.500 | CT4 | 5G System; Technical Realization of Service Based Architecture; Stage 3 |
| 29.501 | CT4 | 5G System; Principles and Guidelines for Services Definition; Stage 3 |
| 29.510 | CT3 | 5G System; Network function repository services; Stage 3 |
| 29.512 | CT3 | 5G System; Session Management Policy Control Service; Stage 3 |
Heureusement pour vous, le 3GPP, l'IETF, l'IEEE, la GSMA et d’autres organismes de normalisation ont déjà conçu le système que vous étiez chargé de spécifier. Désormais, peu importe où vous êtes dans le monde, quel est votre opérateur mobile ou qui vous a fourni le téléphone dans votre poche, vous pouvez bénéficier du système cellulaire 5G pour consulter l’état du trafic et la météo avant de rentrer chez vous.
Oracle Health propose une multitude de solutions pour le secteur de la santé et des soins de santé. Ces solutions incluent des systèmes d’information de santé utilisés par les cliniques, hôpitaux, réseaux de soins et acteurs des sciences de la vie. Les solutions Oracle Health soutiennent les processus de gestion administrative, clinique, départementale et/ou financière, ainsi que la prise de décision ; le partage de données entre organisations à l’échelle locale et nationale pour le reporting réglementaire, la coordination des soins, la gestion des réclamations, la recherche, les registres et autres usages secondaires ; la gestion des essais cliniques ; le rapport des événements indésirables ; ou la recherche et la gestion de la santé des populations pour les organisations de soins responsables (ACO).
Les normes sont essentielles pour garantir une représentation cohérente des données lors du partage d’informations (format, terminologie commune, modalités de transport) ainsi que des exigences minimales en matière de sécurité, en particulier lorsqu’il s’agit de données de santé personnelles.
Pour un historique de notre engagement en faveur de l’interopérabilité, voir les étapes majeures sur Normes | Oracle. Cela inclut les contributions et étapes de SMS, Siemens, Cerner et Oracle via la chaîne d’acquisitions.
Un patient planifie un premier rendez-vous avec un généraliste après son déménagement. En préparation du rendez-vous, le cabinet du médecin demande les données disponibles via le réseau national.
Le DPI du médecin lance une requête sur un réseau national, tel que CommonWell, à l'aide des protocoles d'échange de documents IHE et reçoit en retour les documents C-CDA HL7.
Le médecin traitant vérifie la documentation reçue, puis sélectionne les informations pertinentes à inclure dans les enregistrements initiaux.
Le DPI permet au généraliste d'intégrer de manière transparente les données des documents basés sur les normes dans l'enregistrement sous forme structurée, et pas seulement les notes narratives, les documents numérisés ou le texte.
Au cours de la consultation du patient, le médecin traitant prescrit des tests en laboratoire et une pommade pour une éruption cutanée.
Le DPI envoie une prescription au laboratoire à l'aide des messages HL7 v2 à l'aide des codes LOINC standard pour le test, tout en envoyant une prescription de sortie à la pharmacie locale du patient via un réseau national utilisant les normes NCPDP ePrescribing à l'aide des codes de médicaments RxNorm.
Lorsque le patient rentre à la maison, il veut consulter le résumé de la consultation Bien qu'il n'ait pas encore accès au portail, il dispose d'une application permettant d'accéder aux informations de la consultation à partir du dossier patient informatisé du médecin traitant à l'aide des API FHIR.
Le patient va au laboratoire pour la prise de sang. Ensuite, le laboratoire effectue le test et envoie les résultats au médecin traitant prescripteur Bien que le patient ne dispose pas encore d'un accès au portail, il dispose d'une application permettant d'accéder aux informations de consultation à partir du dossier patient informatisé du médecin traitant à l'aide des API basées sur le rapport d'informations cliniques.
Le patient accède à nouveau à l'application pour rechercher les résultats à l'aide des API FHIR HL7 sur le DPI du médecin traitant ou peut les obtenir au laboratoire s'il a également exposé les résultats via les API FHIR HL7.
Les résultats ont montré une maladie à déclarer qui nécessite la notification de santé publique.
Le système de laboratoire partage les résultats de laboratoire avec l'agence de santé publique locale à l'aide des messages HL7 v2, tandis que le DPI partage un rapport de cas plus complet avec cette même agence de santé publique à l'aide d'API basées sur HL7 FHIR ou d'un rapport de cas basé sur HL7 CDA.
Entre-temps, les demandes pour la consultation du médecin traitant et le test de laboratoire correspondants ont été soumises au payeur, qui, à son tour, règle la demande et paie le médecin traitant et perçoit une franchise ou un co-paiement du patient.
Via le système de gestion des pratiques ou du cycle de revenus du médecin traitant, le système de gestion des réclamations du laboratoire a envoyé les réclamations respectives au payeur à l'aide des transactions de réclamation X12 et a reçu une notification de paiement à l'aide des transactions de paiement/remise en banque X12.
Le médecin traitant fait partie d'un système de santé plus vaste qui gère une population plus importante et collabore avec des chercheurs. Ils maintiennent un grand jeu de données de population pour effectuer des analyses internes et fournir un accès aux données des patients dépersonnalisées aux chercheurs dans le cadre des directives de l'HIPAA.
Le système d'analyse extrait et anonymise les données du système d'intégrité, qui sont ensuite disponibles dans l'un des différents formats. Il peut être directement au format OMOP, ou dans HL7 API basées sur FHIR, ou un autre format convenu.
La liste suivante met en évidence les normes et directives importantes que les développeurs informatiques doivent suivre en raison de diverses réglementations et contrats aux niveaux international, national et étatique. Bien que certaines normes soient volontaires, elles sont cruciales pour assurer l'interopérabilité entre les différents systèmes informatiques de santé. Des exemples notables incluent l'US ONC Certification Program, qui impose l'utilisation de HL7 FHIR et HL7 C-CDA, ainsi que les réglementations du Royaume-Uni, de l'UE, de l'Australie et du Canada. Ces normes facilitent également l'échange de données interopérables au sein d'organisations telles que les hôpitaux, permettant des tâches telles que le traitement des commandes en laboratoire, la facturation avec des systèmes de cycle de revenus et le partage d'informations pour l'analyse des soins basée sur la valeur.
| Organization | Nom | Pays | Objectif |
|---|---|---|---|
| Transactions | |||
| ASTM International | American Society for Testing and Materials | Monde | Événements vérifiables (2147-18) |
| CDISC | Consortium pour les normes d'échange de données cliniques | Monde |
|
| DICOM | Communication numérique et imagerie en médecine | Monde | Échange d'images et accès |
| DirectTrust | DirectTrust | États-Unis | Messagerie sécurisée, notification d'événement (Direct Standard) |
| GS1 | Global Standards 1 | Monde |
|
| HL7 International | Health Level Seven International | Monde |
|
| IHE | Integrating the Healthcare Enterprise | Monde |
|
| NCPDP | National Council for Prescription Drug Programs | États-Unis | Prescription, autorisation préalable (médicaments uniquement), demandes de remboursement (SCRIPT) |
| OHDSI | Observational Health Data Sciences and Informatics | Monde | Recherche (OMOP CDM) |
| ANSI | American National Standards Institute | États-Unis | Réclamations, admissibilité, paiements, versement (X12) |
| Transport | |||
| IETF | Internet Engineering Task Force | Monde |
|
| Utilité | |||
| HL7 | Health Level 7 | Monde | Enregistrement, authentification et autorisation dynamiques des applications (SSRAA/UDAP) |
| OIDF | OpenID Foundation | Monde | Gestion globale des identités (OpenID) |
| UDAP | Unified Data Access Profiles | Monde | Enregistrement et authentification de l'application globale |
| W3C | World Wide Web Consortium | Monde | Global User interface usability (WCAG) |
| Sécurité | |||
| NIST | National Institute for Standards and Technology | États-Unis |
|
| Lexique | |||
| ADA | American Dental Association | États-Unis | Diagnostics, procédures et autres nomenclatures utilisés pour la dentisterie (SNODENT) Codes de facturation des créances dentaires utilisés sous HIPAA (CDT) |
| AMA | American Medical Association | États-Unis | Codes de procédure utilisés pour les demandes de remboursement |
| AND | Academy of Nutrition and Dietetics | États-Unis | Terminologie normalisée pour assurer des soins nutritionnels optimaux (NCPT) |
| ASTP/ONC | Assistant Secretary for Technology Policy / Office of the National Coordinator | États-Unis | Données relatives à la certification ASTP/ONC et aux autres programmes (USCDI) |
| CMS | Centers for Medicare and Medicaid Services | États-Unis | Healthcare Common Procedure Coding System (HCPCS) Exigences en matière de reporting des données de laboratoire (CLIA) |
| CDC | Centers for Disease Control and Prevention | États-Unis | Codes de vaccin (CVX) Codes de fabricants de vaccins (MVX) Race et origine ethnique (CDREC) |
| FDA | Food and Drug Administration | États-Unis | Codes de médicaments nationaux (code UCD) Identifiant de dispositif unique (IDU) |
| GA4GH | Global Alliance for Genomics and Health | Monde | Format de variation génétique (VCF) |
| ICCBBA | International Council for Commonality in Blood Banking Automation | Monde | Norme pour l'identification, l'étiquetage et le transfert d'informations des produits médicaux d'origine humaine (y compris le sang, les cellules, les tissus, le lait et les organes) (ISBT 128) |
| ICH | International Council for Harmonization of Technical Requirements for Human Use | Monde | La terminologie médicale pour faciliter le partage de l'information réglementaire à l'échelle internationale pour les produits médicaux utilisés par les humains. (MedRA) |
| ISO | Organisation internationale de normalisation | Monde | Langues humaines (RFC 5646) |
| NHTSA | National Highway Traffic Safety Administration’ | États-Unis | Codes terminologiques des soins d'urgence (NEMSIS) |
| NIH | National Institute of Health | États-Unis | Nomenclature standardisée pour les médicaments cliniques, essentiellement un moyen de nommer et de classer systématiquement les médicaments (RxNorm) |
| NHSE | NHS England | Royaume-Uni | Normes d'information et collecte de données (y compris les extractions) (ISCE) Échange de messages (MESH) Data Security and Protection Toolkit (DSPT) |
| NHSBSA | Autorité des services aux entreprises du NHS | Royaume-Uni | Dictionnaire des médicaments et des dispositifs (dm+d) |
| NUBC | National Uniform Billing Committee | États-Unis | Formulaire de réclamation (UB-04) |
| NUCC | National Uniform Claim Committee | États-Unis | Formulaire de réclamation (1500) |
| OMB | Office of Management and Budget | États-Unis | Race et origine ethnique (SPD 15) |
| Regenstrief | Regenstrief | Monde | Codes d'unité de mesure (UCUM) Codes de test clinique et de terminologie associée (LOINC) |
| SNOMED | Systematized Nomenclature for Medicine | Monde | Codes de diagnostic, de procédure et autres codes terminologiques |
| UN ITU-T | United Nations International Telecommunication Union Telecommunication Standardization Sector | Monde | Représentation des numéros de téléphone, des adresses électroniques et des adresses Web (E.123) |
| OMS | Organisation mondiale de la santé | Monde | Diagnostics et codes de terminologie associés |
Fort de notre engagement continu en faveur de l'innovation multicloud, de notre leadership et de nos contributions avec l'Organisation internationale de normalisation, nous collaborons avec les leaders du secteur pour fournir à nos clients des solutions basées sur des normes.
Célébrez le 25e anniversaire du programme JCP
En tant que membre Platinum siégeant au conseil de la Cloud Native Computing Foundation (CNCF), Oracle peut influencer les normes cloud native en cours de développement par les leaders du secteur à travers le monde. Notre partenariat avec la CNCF reflète l’engagement d’Oracle en faveur des normes et des projets open source, guidé par les besoins de ses clients. Nous démontrons le leadership d’Oracle dans l’industrie cloud grâce à des contributions actives à plus de vingt projets CNCF tels que Kubernetes, Falco (observabilité), Thanos (sécurité) et Crossplane (multicloud). https://www.cncf.io/
Je n’ai jamais été aussi enthousiaste face aux opportunités que le multicloud offre à Oracle, avec des workloads et des données circulant sans interruption entre les clouds. Nous renforçons notre engagement et nos investissements dans les projets CNCF et les intégrations afin d’offrir aux clients une approche open source et basée sur des normes ouvertes pour intégrer plusieurs fournisseurs cloud.Mahesh Thiagarajan EVP Oracle Cloud
La collaboration est essentielle pour stimuler l’innovation, c’est pourquoi nous invitons chacun à rejoindre cette association et à nous aider à respecter des normes communautaires ouvertes”, a déclaré Thomas Di Giacomo, directeur de la technologie et des produits chez SUSE. “SUSE croit fermement en la liberté de choix. Avec la communauté open source, nous redéfinirons le sens de l’ouverture et construirons un avenir plus robuste pour EL.Thomas Di Giacomo Directeur de la technologie et des produits chez SUSE
Oracle Database@Azure offre aux clients un accès direct aux services de base de données Oracle exécutés sur Oracle Cloud Infrastructure et déployés dans les centres de données Microsoft Azure.
En savoir plus sur notre collaboration avec Microsoft
Nous avons une véritable opportunité d’aider les entreprises à migrer leurs applications critiques vers le cloud et à transformer chaque aspect de leur entreprise avec cette nouvelle génération d’IA”, a déclaré Satya Nadella, PDG de Microsoft. “Notre partenariat élargi avec Oracle fera de Microsoft Azure le seul autre fournisseur cloud à exécuter les services de base de données Oracle, offrant à nos clients une nouvelle vague d’innovation cloud.Satya Nadella PDG de Microsoft
La plupart des clients utilisent déjà plusieurs clouds”, explique Larry Ellison, Président et Directeur de la technologie d'Oracle. « Microsoft et Oracle travaillent ensemble pour permettre à ces clients de connecter facilement les services Azure aux dernières technologies Oracle Database. En hébergeant le matériel Oracle Exadata dans les centres de données Azure, les clients bénéficieront des meilleures performances possibles en matière de base de données et de réseau. Nous sommes fiers de ce partenariat avec Microsoft pour offrir cette capacité de pointe à nos clients.Larry Ellison Président et Directeur de la technologie d'Oracle
En reconnaissance du leadership d’Oracle au sein du comité ISO/IEC JTC 1/SC 38 (Cloud Computing & Distributed Platforms) pour créer des environnements cloud hétérogènes, Ampere et Oracle ont créé des clusters Kubernetes basés sur Arm, exécutés via Oracle Container Engine for Kubernetes (OKE), reposant sur la plateforme de calcul cloud native Ampere A1 dans Oracle Cloud Infrastructure (OCI). Le choix, l’interopérabilité et la maturité de ce service multiplateforme ouvrent des perspectives de migration facile et d’innovation continue pour nos clients.Sean Varley Vice-président du marketing produit, Ampere
Arm devient rapidement un choix populaire pour les clients dans le cloud. Les développeurs d’Arm et d’Oracle collaborent au noyau Linux et à d’autres projets en amont sur de nombreuses technologies au bénéfice de tout l’écosystème. Par exemple, les contributions d’Oracle à la gestion mémoire (y compris les structures de données Maple Tree et les folios) améliorent les performances au-delà de leur application spécifique. Oracle collabore également avec Linaro pour intégrer la fonctionnalité CPU hotplug virtuel dans l’architecture Arm. Ce type de collaboration intersectorielle permet à Linux et à l’écosystème Arm de continuer à prospérer.Mark Hambleton VP logiciel, Arm
Le programme Java Community Process (JCP) possède une longue et solide réputation dans l’établissement de spécifications qui constituent la base des applications developpées par des millions de développeurs et s'exécutant sur des milliards de processeurs. L’ensemble de l’industrie logicielle bénéficie de cette dynamique, couplée au rythme soutenu d’innovation d’OpenJDK, qui constitue l’implémentation de référence du programme JCP. Oracle est fier de soutenir, avec ses partenaires, l’évolution de l’écosystème Java depuis près de 30 ans.Georges Saab Vice-président senior du développement Java, Président du conseil d'administration OpenJDK, Oracle
La dernière version apporte 15 JDK Enhancement Proposals pour accroître la productivité des développeurs, améliorer le langage Java et renforcer les performances, la stabilité et la sécurité de la plateforme.
Création du JCP : Sun validait les demandes et les membres contribuaient aux spécifications.
Création de comités exécutifs pour examiner et approuver les JSR.
Égalité accordée aux membres individuels.
Adoption de l’open source, simplification des processus, ouverture des premières ébauches, conditions de licence et TCK accessibles au public.
Transparence requise pour les commentaires publics et révision du calendrier des publications.
Introduction des règles internes des CE, transparence requise dans la communication des JSR et délais raccourcis.
Lancé pour inclure les voix des JUG du monde entier sur les normes Java.
Fusion des deux comités exécutifs en un seul votant sur tous les JSR.
Élargissement de l’adhésion, suppression des obstacles, ajout des contributeurs et création de trois types de sièges au CE.
Rationalisation des processus pour plus d’agilité, alignement avec le développement open source et réduction de la taille du CE.
Lancé pour inspirer et former la prochaine génération de développeurs Java et combler le fossé entre le monde académique et l’industrie.
Célébration des 25 ans du programme JCP
Depuis plus de 20 ans, Arm est un membre actif du Java Community Process (JCP), avec de nombreuses contributions à long terme au projet OpenJDK. En collaborant avec Oracle pour adopter un cycle de publication semestriel, l’évolution du langage a été accélérée, permettant d’introduire plus rapidement des fonctionnalités comme les threads virtuels ou un Garbage Collector amélioré. La version Java 21 intègre la sixième incubation de l’API Vector sur Arm, exploitant l’architecture vectorielle SVE pour toucher davantage de développeurs Java. Notre travail sur ces avancées maintient Java à la pointe du développement cloud natif, performant et évolutif sur les cœurs Arm Neoverse.Stuart Monteith Ingénieur logiciel principal, Arm
La performance et la compatibilité de la plateforme Java sont essentielles pour les clients déployant des charges de travail Java sur les configurations Ampere A1 dans OCI, ou sur site. Conscients de cela, les experts d’Oracle et d'Ampere ont collaboré pour améliorer considérablement les performances Java sur différentes versions d'OpenJDK, en respectant les spécifications Java, notamment via le Java Community Program (JCP) et la Java Specification Request (JSR) 395 pour Java SE 20. Grâce à cette collaboration et à nos spécifications ouvertes, les performances de Java sont jusqu'à 30 % supérieures avec les derniers JDK. Même les workloads hérités en bénéficient, comme avec le récent Enterprise Performance Pack, qui permet d’obtenir les performances de JDK 17 sur des applications JDK 8.Atiq Bajwa Directeur de la technologie, Ampere
Oracle participe au développement de normes en intelligence artificielle (IA). Les projets dans ces organismes de normalisation couvrent divers aspects des systèmes d'IA : biais/équité, supervision humaine, explicabilité/transparence, gestion des risques, confidentialité et sécurité. Ces normes favorisent l'harmonisation technique et facilitent l’accès au marché.
| ISO/IEC JTC 1 SC 42 | Il s'agit d'un organisme conjoint relevant de l'Organisation internationale de normalisation (ISO) et de la Commission électrotechnique internationale (CEI) chargé de la normalisation de l'IA. |
| CEN/CENELEC JTC 21 | Il s’agit d’un organisme conjoint du Comité européen de normalisation (CEN) et du Comité européen de normalisation électrotechnique (CENELEC). Le Comité technique conjoint 21 élabore et adopte des normes pour l'IA et les données associées. Cet organisme est également chargé d’établir des normes harmonisées (normes européennes) pour l'AI Act. |
| ETSI ISG SAI | L’Institut européen des normes de télécommunications (ETSI) a créé un groupe de spécifications industrielles sur la sécurisation de l’intelligence artificielle (ISG SAI). Ce groupe traite de la sécurité de l'IA et de l'utilisation de l'IA pour renforcer la sécurité. |
Nous participons également aux activités liées à l'IA des organismes suivants :
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